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Depuis les habitants

Haiti, le GARR condamne l'assassinat du Coordonnateur de la POHDH et de son épouse

Monsieur Daniel Dorsinvil Le Groupe d’Appui aux Rapatriés et Réfugiés (GARR) condamne énergiquement l’assassinat par balles du Coordonnateur de la POHDH, Daniel Dorsinvil et de son épouse Girldy Larèche, le samedi 8 février 2014, à Bois Patate (Port-au-Prince).

Haiti, Le GARR condamne les expulsions violentes des familles déplacées de Canaan

Vue partielle du village Mozayik après la démolition des maisons - Photo:Geralda Sainville Lubin Le Groupe d’Appui aux Rapatriés et Réfugiés (GARR) condamne vivement la répétition des expulsions forcées opérées à l’encontre des familles déplacées du « village Mozayik» situé à Canaan (Nord de Port-au-Prince). Ces violations, réalisées dans l’indifférence des autorités concernées doivent être stoppées de manière urgente afin que les victimes ne subissent pas d’autres atrocités de la part des particuliers se réclamant propriétaires, en complicité avec des agents du gouvernement.

Haiti, Le GARR plaide pour une solution durable en faveur des déplacés/es du séisme du 12 janvier

Des déplacés/es du camp Christopher, suite à une expulsion forcée. Photo: GARR A l’occasion du 65ème  anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, le GARR plaide pour la protection des droits des familles déplacées confrontées à de violentes expulsions forcées.  Ces violations graves ne font qu’empirer la situation de ces victimes livrées à elles-mêmes dans les camps d’hébergement, à l’approche du quatrième anniversaire du tremblement de terre.

Haiti, Invité au Parquet sous l’accusation d’incendiaire, Patrice Florvilus dénonce une manœuvre d’intimidation

Les intervenants lors de la conference de presse (Photo:Geralda Sainville) Le Directeur Exécutif de l’organisme Défenseurs des Opprimés (DOP), Me Patrice Florvilus, accusé par Me Reynold Georges, d’incendiaire et d’association de malfaiteurs, est invité le lundi 19 aout 2013 au Parquet de Port-au-Prince. Me Florvilus qualifie cet acte d’intimidation et d’entrave à l’exercice de sa profession en faveur des déplacées/es internes.

Haïti: solidarité contre les menaces de mort à l'avocat des droits humains Patrice Florvilus

Le leader du camp Elie Joseph Jean-Louis brandit une photo du corps de Merius Civil après avoir été roué de coups par la police lors d'une manifestation dans le quartier de Delmas à Port-au-Prince, Haïti. Civil avait été arrêté, début 15 Avril, par la police qui avait pris d'assaut le camp car les résidents protestaient contre un raid de motocycliste qui a mis le feu à leurs maisons. Selon des témoins, la bande de motards est venu au camp Acra heures après que l'avocat Reynold Georges, arrivé avec un juge et un agent de police pour dire aux quelque 30.000 personnes qui avaient perdu leur maison dans le séisme de 2010, qu'ils devaient quitter ses terres. S'ils ne quittent pas, il a dit qu'il aurait brûlé et rasé l'endroit par des bulldozers. (AP Photo / Dieu Nalio Chery, 30/04/13) Un avocat spécialiste des droits humains à Port-au-Prince, en Haïti,  directeur exécutif de l'organisation Défenseurs des Opprimés (DOP), membre AIH, subit des menaces et des actes d'intimidation depuis le 15 avril, date à laquelle deux hommes ont été arrêtés et battus. L'un d'eux est mort en détention, et cet avocat représente maintenant les deux hommes.Un Appel à la solidarité internationale!

Des déplacés-es violemment expulsés de la place Ste Anne sans avoir reçu les allocations promises par les autorités pour leur relocalisation

Des déplacés-es en file d'attente pour réclamer les allocations promises par la mairie de Port-au-Prince - Photo: Josué Michel Des dizaines de familles déplacées violemment expulsées de la Place Ste Anne, le 12 janvier 2013, date marquant le troisième anniversaire du séisme, n’ont rien reçu  comme allocation avant leur expulsion, selon des témoignages recueillis par le GARR.

Haïti, Visite de solidarité de militants dominicains sur le droit au logement

Une délégation issue de plusieurs organisations dominicaines engagées dans la lutte pour le respect du droit au logement au niveau local et international, poursuit des échanges depuis bientôt une semaine avec des familles déplacées et des organisations partenaires haïtiennes dont le Collectif pour la défense du droit au logement.

12 de enero del 2013 en Haití: 4h53 PM

Puerto Príncipe. Es 12 de enero, tres años de aquel horroroso acontecimiento que segó la vida a más de 250 mil personas. A pesar de no haber sido declarado por el Gobierno día de duelo, la población lo ha observado como tal mediante memoriales generalizados. Estos han sido organizados por las familias reunidas en casas, iglesias y campamentos, que en ocasiones llegan a reunir centenares y hasta miles de personas.

Haïti, Trois ans après le tremblement de terre les Droits des déplacés continuent d’être violés

Des Haïtiens vivent toujours dans des camps de fortune près de Port-au-Prince (AFP/THONY BELIZAIRE) La POHDH constate que trois ans après le séisme du 12 janvier 2010 la reconstruction du pays est loin d’être effective. Plusieurs millions de dollars en don ont été dépensés sans que ce problème structurel n’ait été résolu. D’après une étude de l’OXFAM GB en décembre 2012, environ 78.175 personnes sont menacées d’expulsions, soit le 21% des déplacées encore dans les camps.

Haïti, Camp Gaston Margron : des tentes détruites par des policiers accompagnés des civils armés

Démolitions et violences contre les déplacés (Camp Gaston Magron, Port-au-Prince, Haïti, 16 11 2012) Un groupe de policiers accompagnés de civils avec des machettes ont détruit une vingtaine de tentes au camp Gaston Margron, à Mariani, Banlieue sud de la Capitale, le 16 novembre 2012. Traumatisés/es les déplacés/es lancent un SOS aux instances concernées pour freiner les démolisseurs qui promettent de récidiver.